Numéros

Pagaille — n°3 (avril 2024)

Rétro­topies ou l’idéal­i­sa­tion du passé : Ce troisième numéro pro­pose de réfléchir à la manière dont la fic­tion s’est sou­vent nour­rie d’un élan rétro­topique pour con­stru­ire des univers par­al­lèles, des mon­des pos­si­bles, car­ac­térisés par un même mou­ve­ment de retour vers un passé idéal­isé, con­tre­point salu­taire à un présent déce­vant ou pro­jec­tion réflex­ive per­me­t­tant de dia­loguer avec le monde con­tem­po­rain, de l’enrichir, de rêver à ce qu’il aurait pu être. 

Pagaille — n°2 (décem­bre 2022)

Les per­son­nages de l’om­bre dans la lit­téra­ture et les arts : ce sec­ond numéro ne pro­pose pas seule­ment de s’intéresser aux per­son­nages dits sec­ondaires, mais de remon­ter plus loin dans le degré d’insignifiance, jusqu’à ces petits per­son­nages qui con­stituent une sorte de toile de fond à l’intrigue : ils tra­vail­lent dans l’ombre, appa­rais­sent pour dis­paraître aus­sitôt, alors même qu’ils peu­vent jouer par­fois le rôle d’éminences grises.


Pagaille hors-série (décem­bre 2021)

Bib­lio­thèque numérique et intel­li­gence col­lec­tive. Le sacre des « human­ités » ? : revue de lit­téra­tures et médias com­parés, Pagaille a pour ambi­tion de dévelop­per un pro­pos trans­mé­di­a­tique sur la lit­téra­ture, les arts, et les objets cul­turels d’une manière générale. Ce pre­mier numéro hors-série est un moyen d’affirmer résol­u­ment cette appé­tence pour les explo­rations mul­ti­scalaires du spec­tre médiatique.


Pagaille – n°1 (févri­er 2021)

Marâtre Nature. Quand Gaïa con­tre-attaque : par sa puis­sance heuris­tique, la com­para­i­son fait naître des chemins de tra­verse sans nul doute essen­tiels dans ce moment de crise qu’est l’Anthropocène. Face à des défis qui parais­sent insur­monta­bles, les sociétés néolibérales ont plus que jamais besoin d’une pen­sée mise en regard d’un Autre, con­stru­it volon­taire­ment comme représen­ta­tion alternative.